L’UNAF, par l’intermédiaire de son président national, Jean-Jacques Demarez, pourtant ardennais, s’insurge contre les propos inadmissibles tenus par le président du club de SEDAN, évoluant en N2.
Comment un club qui, certes, a terminé en tête de la quatrième division du football français, à l’issue des matchs aller, mais après deux matchs nuls et une défaite accuse un arbitre d’être le responsable de sa deuxième position au classement au moment de l’arrêt du championnat décidé par la FFF.
Dans un communiqué officiel, en date du 24 avril, sur le site du club relayé par « footamateur » le président du club de SEDAN, accuse ouvertement notre adhérent, tout comme la DNCG, la Commission de Discipline et la FFF, comme étant les quatre responsables du maintien de SEDAN en N2 et de la montée de BASTIA en N1.
Au lieu de reprocher à ses joueurs des comportements inadmissibles sur un terrain de sport, jusqu’à insulter et bousculer un arbitre, justement sanctionnés par la commission de discipline, il est plus facile, pour masquer les lacunes sportives de son équipe phare, de mettre tous les tords sur un de nos meilleurs arbitres F4, qui plus est, unafiste.
Ce qui choque également l’UNAF, c’est qu’en introduction de son communiqué, le président de SEDAN présente, de manière très légitime en ces temps de pandémie, ses vœux de bonne santé à ses collaborateurs, dirigeants, staff, joueurs, éducateurs, personnels administratifs et techniques et partenaires en oubliant comme par hasard les six arbitres qui couvrent son club sans qui il ne pourrait évoluer à ce niveau.
Dès la connaissance de ce communiqué, et grâce à leur étroite collaboration, Bruno Faye, président du SAFE et Jean-Jacques Demarez, président de l’UNAF, ont immédiatement pris contact avec notre collègue pour lui apporter tout notre soutien face à ces allégations mensongères d’un président frustré.